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ode : Un petit coup de main svp !!![Lien]
MangakaDine : Salut Hylst, je sais que tu traines encore un peu par ici alors je te file le lien d'un article commun qui a pour but de virer les spams sur Joueb, viens participer! [Lien]
Gamin : Hello Hylst, un p'tit tag pour toi [Lien]
Vendredi : Des bises, cher Hylst. :-)
LiliLou : diner jouebbien?
Hylst : c'eût été avec grand plaisir, mais la période et la distance avec Paris ne rend hélas pas la chose aisée.
ode : salut ;)
ode : tu menque dans le coin...
:(
Hylst : Merci, oui, le temps me manquent, des priorités qui changent également, mais... je suis de nouveau un peu plus que de passage :o)
ode : cool ;)
PierreDesiles : Bonne année 2012 ! Beaucoup de bonheur !
@+
Hylst : Coucou ! Me revoilà de passage en 2014 pour animer un peu ce joueb =)

Désolé de n'avoir pas réagi de suite Ode, Mangakadine, Pierre, Lililou.


Dimanche (20/03/05)
Printemps nouveau

P

rémices du retour de la chaleur et fonte des neiges,
Retour d'un brin de légèreté et d'habits plus découverts,
Incessamment des branches nues bourgeons naîtront,
Nouvelles perspectives et idées dans nos esprits,
Temps de la fraîcheur s'estompant vers la douceur,
Epanouissement de la nature à nouveau s'éveillant,
Mère de floraison et imagination et père ragaillardissant,
Par la main des liens engourdis ou refroidis à nouveau se tenant,
Saison de sentiments palpitants et frémissants en nos coeurs.
Ecrit par Hylst, a 09:01 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Mardi (18/01/05)
Songes désertiques

Le désert... Landes de sables à perte de vue...
Le jour... un astre des plus généreux...
Limite acharné... Sécheresse et mode de vie nomade qui en découle...
Quelques rares animaux qui s'y sont adapté...
Environnement peu clément...
Animaux qui ne le sont pas toujours davantage...
Ondulants... à une ou deux bosses, un dard pointé...
Le vent caressant le sable, mais parfois aussi le soulevant bien haut dans sa colère...
Des tempêtes dévastatrices... Cactus que les rares herbes désertiques...
Des oasis rarement... Des déserts les plus rocailleux au plus fins de grains,
Sables dangereux parfois... se mouvant, se dérobant, nous avalant...
Soif de grands espaces... des oasis parfois...
Palmiers et petits surfaces d'eau...
Bénies pour l'assoiffé, mais parfois aussi mortelles...
Cette chaleur... pigmentation de peau préférables...
La quête de l'eau... d'Oasis en Oasis...
Mais de nuit également...
La chaleur torride fait place rapidement à une fraîcheur des plus rigoureuse...
Les nomades alors s'installent...
Des générations entière qui ont peuplé et traversé le désert,
Touaregs, indigènes, aborigènes, boschimans...
Leurs compagnons de routes rodés au chemin désertiques... chameaux et dromadaires...
Moutons et chèvres qui leur servent plutôt de bétail...
Conservation saline de viandes, mil et sel,
Transportés dans de grands groupements de caravanes...Azalaïs...
Un peuple de voyage,
Des terres arides où sable et soleil reignent en maîtres...

Songez y seulement...
Y passer quelques jours...
Le dépaysement...
Nomade sous ses draperies pour le protéger du soleil et du froid la nuit...
Des coutumes bien particulières à chaque peuplades,
Si différentes des nôtres à s'imaginer...
Le voyage...
Le désert..

Ecrit par Hylst, a 23:43 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Samedi (11/12/04)
Grenouille et Nenuphar


Dans une petite mare
Sur de paisibles eaux,
En une terre argileuse,
De richesse naturelle,
Une tige vivace s'élève,
Jusqu'à s'ouvrir en surface,
En un majestueux nénuphar,
Aux feuilles généreusement arrondies,
D'un vert lisse au toucher et vernissé à l'éclat.

Dans ces eaux de terre,
De cette même tige nourrie,
Une fleur d'un blanc éclatant,
Eclose et s'épanouissant avec grâce,
Accompagne le vert lit sur eau du nénuphar,
En son cœur offrant son pistil volatile et lumière,
Aux insectes environnants entre roseaux et hautes herbes batifolants,
Parsemant ainsi les graines de son espèce, Vie et nature.

En cette journée fraîche,
Le soleil de l’espoir adoucis de ses rayons,
La température fort plaisante de ce lieu,
Qui j'espère ne gèlera pas durablement,
A la rigueur de l'hiver de nos cœurs,
Parfois vivement et si souvent refroidis. 

Quand bien même glace se formerait,
Petites grenouilles de par cette mare,
N'auraient ensemble qu'à se regrouper,
Et à échanger, concentrer leur chaleur,
Pour qu'à nouveau la glace fonde,
Et que le Nénuphar symbole rassurant et serein,
En surface de cet eau paisible à nos cœurs et esprits,
Survive, vive et s'épanouisse encore davantage, 

Pour notre plaisir à tous.

 Brisons la glace.
Le reflet de soi,
Celui que l'on s'en fait,
N'est guère bon qu'à attiser la pousse de vénéneuses narcisses,
Et le mutisme en des moments et des circonstances où pourtant...

De l'autre côté de la glace,
Sous l'eau agitée mais trouble...
Ceux qui pensent à nous,
Ne souffrent pas de notre égarement...
Dans le seul reflet de nous même…

Ecrit par Hylst, a 23:15 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Dimanche (28/11/04)
Poême collectif en alexandrins à rimes croisées

Quand je parle de poême, on pourrait s'imposer une suites de sonnet, un poême à mesures fixes fait de quatrains ? d'alexandrins ?

Optons ... pour une versification en Alexandrins.

Pour guide de rédaction de ce qu'est un Alexandrin, je me bornerai à recopier le descriptif suivant issu de ce site bien pratique qu'est www.toutapprendre.com :


Dans sa forme classique, l’alexandrin est formé de deux parties égales appelées hémistiches (du grec hémi : moitié, et stichos : vers), séparées par lacésure (du latin coupe, coupure) :

    Voici venir les temps / ou vibrant sur sa tige

    Chaque fleur s’évapore / ainsi qu’un encensoir,

    Les sons et les parfums / tournent dans l’air du soir,

    Valse mélancolique /et langoureux vertige !

    (Harmonie du soir. Les Fleurs du Mal. Baudelaire)

Pour calculer le nombre de pieds d’un vers, il faut connaître la règle du e muet : il se prononce quand il est suivi d’une consonne, et s’élide quand il est suivi d’une voyelle ou bien lorsqu’il se trouve à la fin d’un vers.



Avec ces quelques exemples d'alexandrins, je vous invite donc à prendre part à un poême en alexandrins à rimes croisées.

Uun commentaire pour un vers.
Pas deux commentaires consécutifs par la même personne, mais entrelacés, sans problèmes.
Telles seronts les règles.

Au delà de ça, les aboutissants de cette composition collective dépendront de l'imagination de tous ces participants.

Je me lance donc sur le 1er vers :

Ecrit par Hylst, a 21:54 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Mercredi (22/09/04)
Automne

En cette journée de septembre,
A la porte élémentaire des saisons,
L'automne à son tour est revenu toquer.

Pour faire place à la lune de son éclat argenté,
Déposant son halo en de plus longues nuitées,
Sur un ciel pigmenté au gré de la voûte nuageuse,
De milles étoiles, lumières lointaines d'étoiles qui le sont davantage encore.

Les jours à nouveau se raccourcissent ,
Et l'air peu à peu se rafraîchit.

Le soleil moins présent s'efface alors,
A l'avantage d'une féerie de couleurs rouilles,
Jaunes, rouges, orangées, d'un verts automne...
Couleurs précèdent la chute des feuilles,
Et la nudité des arbres que l'hiver à son tour accueillera en son temps.

L'automne, un peu le symbole pour les plus jeunes de la rentrée,
Une autre base à nouveau cycle annuel...

L'automne est venu toquer à la porte des saisons,
La porte s'est ouverte aujourd'hui pour que l'été s'en échappe.

L'automne a quelque chose de... profond... de romantique...
Une forme de renaissance... de dépassement de considérations...
Une mise à nu...
Quelques notes d'une musique classique admirable...
Un courant d'air portant une feuille de peuplier
qui vient se déposer sur un ruisseau d'eau très fraîche
coulant non loin du rebord d'une ruelle
le long de laquelle marchent ensemble quelques passants
évoquant les affaires personnelles et respectives...

A la porte de vos esprits et de vos coeurs je toque,
et par la pensée vous remet une pensée parfum d'Automne

Au plaisir

Ecrit par Hylst, a 22:11 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Lundi (07/06/04)
Visions romantiques

Deux êtres aimés et aimants s'enlaçant,
Luxe, calme, enivrante volupté, chaleur de deux corps et âmes unies,
Complicité et intimité des deux êtres aux sentiments profonds voués l’un à l’autre.

Quelques notes de piano esquissés du bout des doigts,
Résonnants avec harmonie accompagnés de cordes y vibrant concertées,

Subtiles mélopées à laquelle s’enveloppant le chant du vent en des accents bucoliques

Le roulis des vagues s'écrasant d'un bruit rafraîchissant sur les rochers,
Rochers d'une falaise le long de laquelle nous nous promenons,
Vent dans les cheveux soufflant, sifflant, chantant, s'immisçant,


Libres de devoir d'apparence, de temps,

Libres de responsabilités tierces le temps de ces précieux instants.


Pieds nus, allant, ivres de hauteur, de grand air, de nature,
Falaise de laquelle on plonge fendant l'eau, vivifiante,
Remontant à la surface, sereins, apaisés.


Nageant côte à côte, en communion avec cette nature,

Rejoignant quelques récifs couverts d'algues et mousses,
S'y allongeant, lit de verdure humide, côtes à côtés,

Allongés sur le dos, observant le ciel avec grand sourire,
Admirant la vue d'un ciel d'un bleu dégradé,
Maculé de nuages défilants, se déformants, s'entre mêlants,
Un soleil entre ces nuages voyant ses rayons masqués,
Déviés, changés, plaisantes luminosité irrégulière, dans l'eau se reflêtant,
Donnant au ciel cette apparence bleutée…


Quelques oiseaux, planants non loin de ces côtes criant leur existence,
Plusieurs poissons de-ci de-là, fondant dans leur milieu naturel.

Un coffre sur une plage non loin,
De bois d'acacia et cerclé de fer,
Un peu vermoulu certes,
A ces côtés une bouteille à la mer,
Naufragée qui s'est échoué sur cette jetée,
A l'intérieur, coffre ou bouteille ?
Phylactère et Parchemin,
Lettre d'amour écrite avec passion et merveille d'attentions,
Le plus riche des trésors pour l'heureuse personne qui la trouverais
Et partagerait ces sentiments pour son auteur.

Deux amoureux sur leur lit de mousse blottis l'un contre l'autre,
Si bien ensembles, existant l'un pour l'autre, humains, comme nous tous,
Les yeux dans les yeux, se caressant, s'embrassant, toujours plus proche et plus sensuels.
Volupté, luxe de la nature mère qui n'est là que vie
Dont on a tant à apprécier sans se créer de nouveaux conforts...

Ecrit par Hylst, a 10:53 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Lundi (17/05/04)
Langueur amoureuse

Arpentant une réalité affective d'autant morose qu'inexistante,
Le vide en moi tourbillonne et se contorsionne autour de mon coeur.
Quelque chose bouillonne en moi tel un brasier dont l'oxygène se raréfie.
Des amis certes mais tous lointains de part la distance ou le temps, ou la fréquence.
Les battements de mon coeur saccadent, langoureux, de plus en plus faute de cadence entraînante.
Mes sentiments dérivent et s'échouent en roulis irréguliers sur la plage déserte de ma vie sentimentale.

Solitaire, je rêve ne serait ce qu'à quelques instants suaves qui puissent durer,
Des instants où le ciel bleu pâlit timidement devant la profondeur d'un regard fascinant et fasciné,
Des moments où même le soleil brillant de mille feux, est occulté devant l'éclat adamantin d'une précieuse présence

Le temps d'un d'oiseau qui chante timidement sans comparaison avec l’enchantement de cette sylphide,
Qui passe tel un courant d’air semant un chant aux notes portées par quelques pétales de roses tantôt roses,
tantôt plus pourpres...

Des notes aux accents alternés et cadencés, vifs, tendres, frénétiques, lascifs, doucereux.
Frivolité sybarite... non..
Je reste frissonnant... la borée d'une réalité autre qui souffle et m'ankylose peu à peu.
Mais... ce rêve... oui, j'en ai besoin, chaude larme, frisson névrotique.

Rêve de volupté, d'une symbiose, une complicité, une confiance.
Baisers déposés, peau effleurée, caresses satinées, Chaleur corporelle partagée,
Appétit charnel intimiste, tendre étreinte, formes généreuses flattées de douces attentions,
Cajolé et cajolant, insinué de vie et d'émotions nous animant en parfaite symbiose.
Tendresse et charmes, concert de sensibilité orchestrant manifeste de sensualité, goût sucré et parfum enivrant…


Je me perds, me noie, de rêver… il ne faut point en abuser, de dormir j’aurais plutôt besoin à défaut de toute autre chose dans cet immédiat, blotti contre ma couette, qui elle ne me fera pas faux bon, et fidèle restera, présente, chaude de ma propre et seule chaleur, mais présente.

Ecrit par hylst, a 01:59 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Jeudi (25/03/04)
Pour vous accueillir en ce nouveau Printemps

De ma fort modeste prose ce soir que j'aurai peut être l'inspiration de fouiller davantage prochainement, j'ai laissé courir mes doigts sur le clavier, et ... il en est apparu ces quelques lettres, ces quelques mots, ces quelques phrases, quelques paragraphe, cette prose qui suit :



Au nom du printemps,
Des quatre saisons de l’année,
L’été vivant et radieux nous a réchauffé,
L’automne alors a marqué doux entre-temps,
Pour faire place à un hiver tantôt neigeux tantôt rigoureux,
Auquel vient depuis peu de succéder notre printemps chaleureux.

Un nouveau printemps synonyme de renaissance,
Une plaisante saison où à nouveau bourgeonnent,
Non seulement les fleurs de la nature dans toutes leur grâce,
Mais également les idées nouvelles dans nos esprits,
Les sentiments palpitants et frémissants dans nos cœurs,
Toute une vie qui s’éveille à nouveau après l’hiver.

Au gré du vent, oriflamme bat l’air par flots enflammés réchauffant peu à peu l’atmosphère.
Au gré des courants de surface et profondeur, jeune feuille vogue et poissons frétillent.
Au gré du feu, flammes lèchent plus timidement le bois crépitant de nos cheminées.
Au gré de la terre, racines puis végétaux s’épanouissent redécouvrant lumière et chaleur.
Au gré de la vie, vous tous qui êtes sensibles à la nature et au sens de cette modeste prose,
Au gré de vos pensées, sentirez vous s’insinuez en vous nouvelles perspectives et énergies ?
Ecrit par Hylst, a 21:12 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Jeudi (11/03/04)
A SUIVRE

A l'aube, à l'orée de ce petit bois,
sous le regard argenté d'un fin croissant de lune cette nuit là...
Sur un rocher, il s'est assis.
L'air était frisquet et lui, bien que de peu de habillé, mais...
Il n'avait néanmoins point particulièrement froid.
Son corps bouillonnait d'une sensation de rage mêlée à du dégoût.
Il était descendu là, à la lisière de ce petit bois,
en bordure de chemin et de champ,
pour essayer d'y trouver au moins un peu de calme,
d'essayer de s'y conforter dans ce que cette terre offrait encore de naturel.

Ecrit par Hylst, a 23:44 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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Dimanche (07/03/04)
CONCOURS descriptif :)



Suite à un article de Sarah-k, je vous propose un petit jeu concours :o)

Le chevalier rencontre une belle jeune fille.
La princesse rêve du prince charmant qu'elle a entrevu un jour.

Selon vos convenances, décrivez la jeune fille ou le prince charmant de la manière qui vous semblera la plus 'remarquable', comme si vous étiez le dit chevalier ou la dite princesse :)

Que ce soit en prose, poésie, selon des champs lexicaux que vous pourrez ou non vous imposer, tout est permis. Le concours est ouvert.

Un vote élira la ou les meilleures descriptions qui gagnera /ont notre bonne considération :o)
et peut-être un modeste mais néanmoins personnalisé présent de ma part :o)

- Le concours sera clos la veille du dernier jour de l'hiver,
avant le passage au printemps.
Un vote sera alors proposé pendant 3 jours :o) -

Ecrit par Hylst, a 22:58 dans la rubrique "Prose et Poésie".
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